Edwige ✖ dancing on your grave {Under Co}

pouvoir ϟ
À vous de voir ~

psychologie de votre personnage ϟ
Iam in altera philosophiae parte. quae est quaerendi ac disserendi, quae logikh dicitur, iste vester plane, ut mihi quidem videtur, inermis ac nudus est. tollit definitiones, nihil de dividendo ac partiendo docet, non quo modo efficiatur concludaturque ratio tradit, non qua via captiosa solvantur ambigua distinguantur ostendit; iudicia rerum in sensibus ponit, quibus si semel aliquid falsi pro vero probatum sit, sublatum esse omne iudicium veri et falsi putat.

histoire de votre personnage ϟ
New York 1928 - Dans les rues refroidies par le vent hivernal, on pouvait entendre le son du jeu d'un petit groupe de jazz itinérant. Pendant que les musiciens s'investissaient pour attirer quelques généreux donateurs qui voudraient bien leur offrir une poignée de cents, un certain homme ne pouvait détourner son regard de la danseuse qui les accompagnait. Il fut absorbé par le rythme qu'émettait le corps de la jeune fille. Quand le numéro s'acheva, il l'approcha et elle lui adressa le plus sincère de ses sourires. Subjugué par cette artiste, l'homme lui proposa un travail bien rémunéré de danseuse dans un bar. La jeune demoiselle âgée de 16 ans seulement ne lui posa aucune question et se réjouit de l'opportunité qui venait de lui être offerte.

Cette jeune fille se nommait Elizabeth Edwards. Quand elle annonça à son père qu'elle avait finalement trouvé du travail en tant que danseuse, celui-ci fut empli de joie et ne se méfia guère de l'endroit dans lequel sa chère fille allait pénétrer.

Exténuée par sa journée, elle rentra finalement chez elle pour profiter d'une nuit de repos bien méritée. Néanmoins, le sommeil qu'elle connut ce jour-là était assez différent de ce à quoi elle aspirait. En effet, dès la minute où elle ouvrit la porte de son appartement, un groupe d'homme pesant facilement deux fois son poids se précipita sur elle. À partir de ce moment, les coups déferlèrent sur le frêle corps de la danseuse. Elizabeth était dans la plus grande des incompréhensions. Elle ignorait tout de ses agresseurs et comptait bien poursuivre son existence. Il était facile de déduire que tout cela était la conséquence de sa naïveté l'ayant entraînée dans le monde dangereux de la Mafia, mais la douleur prit le pas sur la raison. Elle estimait ne pas avoir assez vu le monde qui l'entourait et souhaitait encore découvrir de nouvelles sensations. Mlle Edwards ne pouvait certainement pas concevoir l'arrêt pur et simple de sa vie. Alors que son sang et ses larmes ne cessaient de couler, elle finit par perdre conscience et la douleur s'arrêta. Pour toujours. Elle avait finalement expiré son dernier souffle.

Puis elle reprit subitement conscience. Edwige n'avait plus mal, ne pleurait plus et ne saignait plus. Elle était entouré d'un blanc maculé. Son état d'incompréhension quant à lui, s'intensifiait. Alors qu'elle essayait désespérément de comprendre ce qui lui était arrivé, la pièce prit les couleurs du bar qu'elle quitta juste avant de rentrer dans sa demeure. Paniquée, elle décida de fuir, de courir le plus loin possible. Bien qu'exténué, elle entreprit une course désespérée pour rejoindre l'appartement de son père. Alors qu'elle était perdue, Edwige était convaincue que seule la chaleur parentale pourrait lui apporter réponses et réconfort. Après une longue course de presque une demie heure, elle atteignit finalement l'appartement de son père. Quand il ouvrit la porte et vit le visage déformé par la peur de sa fille, l'homme l'a prise dans ses bras. Après cette étreinte, la jeune femme s'écroula de fatigue sur le canapé. Le lendemain matin, il était le 7 février 1933 et elle était toujours de ce monde. Du moins, c'est ce qu'elle croyait.